Slumberland...

...est un groupe de musique composé d'auteurs de la bande dessinée, d'amis de la BD.
Composé principalement de:
- Agnès CHARVIER (Co-fondatrice d'Attakus Collection & Comix Buro) au chant.
- Fabien VEHLMANN (Seuls, I.A.N, Sept...) au chant.
- Juanjo GUARNIDO (Blacksad, Sorcellerie) à la guitare.
- Pierre BOISSERIE (La croix de Cazenac, Flor de Luna, Dantès...) à la basse.
- Pierre FRANCILLON ( Super Consultant Informatique) à la batterie.
- Stef "SIRO" BRANGIER (Aquablue, Polka, Voyageur...) à la guitare.
- Frédéric PEYNET (Le Feul) à la guitare.
De nombreux amis viennent se joindre à eux sur scène: Stephen Desberg (clavier), Gonzague (guitare), Labiano (batterie), Eric Liberge (batterie).


mardi 13 octobre 2009

All Blues

All Blues, cool jazz, smooth jam... Pas répété depuis des lunes et sorti tel que, brut de fonderie, lors de la répète du dimanche 11 octobre 2009. En exclusivité pour le blog, car il n'existe pas de version postée ici provenant de l'une de nos sessions en studio de répétition, je crois.

Cette version a été captée par les bon soins du recorder numérique d'Agnès et postée ici avec l'aide de Fred.

Enjoy.



lundi 12 octobre 2009

Slumberstory Episode 32 Villebon sur Yvette, Studiosud


Retour à Goodtown pour une nouvelle séance de révision. La révision des 40 et des 32 pour ses deux guitaristes du moment !

La groupe a l’air transi de bonheur sur cette photo, un peu comme si on venait de lui apprendre le décès de Tino Rossi. Mais qu’on ne s’y trompe pas, c’est de la concentration… Mouaaarf !

Nous sommes le 11 octobre 2009 à Villebon sur Yvette. C’est vrai que ça fait rêver. Mais c’est pour la bonne cause. Nous avons évoqué lors d’un précédent post, la cave secrète où sont concoctés les arrangements, disséquées les structures, optimisés les tempos, mitonnées les harmonies chorales, et encadrés les chorus de râpe.

Du travail messieurs dames, du travail ! Sur cette photo de groupe chopée en un battement de diaphragme numérique par Fred, c’est toute l’importance de l’enjeu pris en compte collectivement au même moment par Les Slumberlandais, en terme de révolution musicale. Ce qui se passe dans le studio dépeint plus bas n’est pas tenu secret pour rien, pendant que les honnêtes citoyens dorment du sommeil du juste le dimanche soir, après les pubs et le pipi de médor sous un crachin automnal mais nocturne.

C’est là que se joue en effet le sort des grands standards du rock et du jazz. Car ne l’oublions pas : De Villebon à Bercy il n’y a qu’un pas. Mouaaarf ! (pardon c’est le rhume d’intersaison).

Quoi qu’il en soit Michael Jackson sort un single alors qu’il mange les pissenlits par la racine, sauf son respect. Si un tel prodige est possible, on se demande bien ce qui pourrait empêcher Slumberland de ressusciter Miles Davis en 6:27 d’All Blues sans même savoir électrifier le moindre pipeau.

Du cool jazz au White stripes, un café et l’addition…

Alors on s’affaire, on branche, on vérifie, on teste, il faut que tout soit réglé aux petits oignons pour paie enfin dans le recorder le fruit de nombreuses heures de travail. Et dire qu’ils ont un vrai métier…






dimanche 11 octobre 2009

Slumberstory episode 31 Verrières le Buisson


Pascale fêta ses 50 ans en compagnie, outre ses amis et proches, de Slumberland, animateurs live de cette soirée sise à Verrières le Buisson, Essonne, le 26 septembre 2009. La sœur de PierreB eut ainsi la surprise d’assister à quelques versions personnelles de tubes ayant émaillé sa jeunesse. Piochés dans le répertoire de la French Prestige aussi bien que dans le classic rock fondu dans les vieux pots, ces quelques cinq ou six nouveaux titres bossés studieusement depuis la rentrée et spécialement pour l’occasion eurent pour participation participative et exceptionnelle un chœur comptant parmi ses rangs la garde rapprochée des copines , le « chœur des copines » de la star d’un soir célébrant ses 50 bougies.

Le reste du set présenta les classiques du groupe, avec une mention spéciale pour Back to black. Lorsque l’assistance, comme un seul homme se mit à danser sur une chorégraphie « madison » à l’évidence souvent répétée, le solo fut à rallonge et le groupe lui-même aurait presque pu croire que le public lui avait réservé une surprise.

Un spectacle digne des Blues Brothers. Un clan soudé par la magie de la danse.

Mention spéciale à Hotel California, également.

Mais surtout mention spéciale à Fred, dont c’était la première prestation scénique. On serait tenté de croire qu’il bluffe en prétendant inaugurer sa carrière de guitariste de scène. Mais le gars reste d’une humilité désarmante.

Une bonne soirée en somme.